

Aaron pense être « l’élu » et recherche son alter ego. Entre Vaucluse et région lyonnaise, le commissaire Berthier fera face à un dangereux prédateur.
Aaron pense être « l’élu » et recherche son alter ego.
Anna et Alphie sont liées au serment de ne communiquer entre elles que d’une façon épistolaire.
Entre Vaucluse et région lyonnaise, nous retrouvons le commissaire Berthier face à un dangereux prédateur.
Les coupables potentiels sont nombreux et l’évidence pas toujours bonne conseillère.
Très jeune, c’est dans l’imprimerie de son père que Bénédicte Rousset a découvert les textes rédigés par ses ancêtres, dont un félibre : Gabriel Bernard.
Passionnée par les intrigues policières, elle aime puiser son inspiration aussi bien dans les œuvres de Maupassant et Yasmina Khadra, que dans la littérature italienne (Buzzati, Sciascia, Pirandello la fascinent!)
je tenais à vous dire que j'ai pris un vrai plaisir à lire Le Lis des Teinturiers, qui dépasse le simple polar. Plein d'humour en demi-teinte, de trash parfois, et à tiroirs - un peu comme un Rumicub... de plus on se promène entre Orange et Avignon, et c'est très amusant de retrouver des lieux biens connus sous une ambiance complètement différente!<br /> Je crois que nous nous reverrons… à très bientôt donc.
Chère Bénédicte,<br /> Je me suis lancée le défi de lire ton roman policier lorsque nous nous sommes rencontrées à Nyons.<br /> Je t'ai ouvertement dit que je n'étais pas une adepte du genre, mais qu'étant publiée chez Elan Sud, je m'accorderais cette pause lecture.<br /> J'avoue m'être surprise, hier après-midi, à ne plus lâcher l'intrigue. J'étais au chapitre 11 (P. 65 / 298). <br /> Bien sûr, une pause s'est imposée à moi pour me restaurer. "Se restaurer", manger certes... pour ensuite dévorer chaque page et ce, jusqu'à la dernière.<br /> Minuit sonne ! Je laisse mon livre sur une des marches de mon chemin de vie. Je m'endors. Quelqu'un d'autre le lira. Je le recommande.<br /> Car, aussi noir que soit le roman policier, il a toujours sa frange d'or. <br />